Abus de drogues et avortement à risque chez les adolescentes au Nigéria

Abus de drogues et avortement à risque chez les adolescentes au Nigéria

Ikenna Molobe

I. Molobe. Initiative unifiée pour un Nigeria sans drogue, Nigéria

Méthodes: La méthodologie de l’étude a adopté l’utilisation d’une approche qualitative et quantitative. Des discussions de groupes de discussion (FGD) ont été menées auprès d’élèves du secondaire dans cinq communautés sélectionnées de l’État de Lagos. Des entrevues approfondies ont été menées auprès de victimes bénévoles d’avortements à risque et d’entrevues avec des informateurs clés avec certaines institutions identifiées (ONG, CBO). Il y a également eu un examen par le bureau des dossiers, des rapports de cas et de l’administration des questionnaires parmi le personnel de l’établissement pour l’évaluation quantitative.

Résultats: Les résultats ont révélé le plus grand nombre de substances abortives utilisées par les adolescents; mélanges à base de plantes (38 %), substances synthétiques (25,6 %), psychotropes (25,6 %), médicaments prescrits (10,2 %). Plusieurs des adolescents touchés qui ont commis un avortement à risque sont confrontés au syndrome post-avortement tout en passant par des traumatismes physiques et émotionnels recourent ainsi à l’abus de drogues, et certains ont eu un revers scolaire. Il a été fait savoir que dans une tentative d’avorter un bébé par l’utilisation de médicaments psychotropes et d’autres substances qui ont échoué a conduit à la naissance d’un bébé déformé. Le partenaire masculin responsable de la grossesse non désirée influence l’utilisation de ces médicaments pour l’avortement provoqué. Il a également été constaté que ces adolescents surfent sur Internet pour découvrir les pilules abortives et ont été en mesure d’obtenir ces pilules dans les pharmacies sans ordonnance du médecin.

Conclusion: Les adolescents sont expérimentaux et se livrent à l’abus et à l’abus de drogues et de substances. Cela affecte le système fonctionnaire du corps qui peut conduire à l’infertilité et des dommages aux organes vitaux. L’éducation et les interventions en matière de santé génésique sexuelle devraient être associées à la prévention des drogues et de la toxicomanie afin de réduire les comportements à risque associés.

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